Message de condoléances du chef de l’Etat à la présidente par intérim du Malawi
Le chef de l’Etat, M. Ismail Omar Guelleh , a adressé aujourd’hui un message de condoléances à la présidente par intérim du Malawi, Mme Joyce Banda, suite au décès survenu hier du président Bingu Wa Mutharika.
"Je me fais le devoir de vous transmettre mes condoléances les plus attristées suite à la disparition de mon ami et président du Malawi, Bingu Wa Mutharika, et vous prie d’étendre mes sentiments de compassion et de solidarité à tous vos compatriotes", a écrit le chef de l’Etat.
lundi 9 avril 2012
dimanche 8 avril 2012
Une marche pour inaugurer le Mémorial de Meraneh Ibrahim
memorial 5km Meraneh Ibrahim . participation acien athletes' yahye aden et pluasure responsable du sports djboutienne .secrectaire general secectaire d'etait de la jeunnsse et du sports Gouhar Hamadou et secretaire de federation djiboutienne d'athletisme Houmad
jeudi 5 avril 2012
voici quelque Noms du martyr
Hassan Liban “Hatif”
Abdillahi Ardeyeh
Abdillahi Bodeh
Abdourahman Andoleh
Abdourahman Dj Hassan “Andoleh
Abdurahman Hassan Robleh “Dubbe”
Absieh Bouh Abdallah
Aden Robleh Awaleh
Ahmed Dini Ahmed
Ahmed Guedi “Assajog”
Ahmed Guedid Assjog
Ahmed Hassan Kaireh
Ahmed Mohamed dit « Cheikho »
Ali Guelleh Dirieh “Janaleh”
Cheik Abdillahi Bodeh
Cheik Osman Waiss
Chideh Haji Abdi Kaireh
Gachamaleh
Houssein Abdillahi
Madaneh Amareh
Mahamed Abdi “Nac Nac”
Mahamed Osman Houffaneh
Mahamed Said
Mahamoud Harbi Farah
Omar Osman Rabi
Salah Djama Awaleh
Salah Farah
Samod Farah
En 1946, il fonde avec Mahmoud Harbi le Club de la jeunesse somalie et dankalie. Ils sont élus ensemble en 1950 au Conseil représentatif de la colonie, puis se séparent. Hassan Gouled est élu sénateur français, contre Mahmoud Harbi. Il le reste de 1952 à 1958, puis est député à l'Assemblée nationale de 1959 à 1962.
En 1957, il n'est pas élu au Conseil représentatif, c'est la liste soutenue par Mahmoud Harbi qui l'emporte. Mais au référendum de 1958, Hassan Gouled appelle à voter pour le maintien du territoire sous souveraineté française. Avec le soutien de l'administration, son parti gagne les élections territoriales consécutives et il devient vice-président du Conseil de gouvernement.
Dans les années 1960, il dirige l’Union Démocratique Issa. Il est signataire de l'accord d'Arta en septembre 1963. Il est brièvement emprisonné en juillet 1967, avec d'autres responsables du Parti du mouvement populaire (PMP). Il est élu à l'Assemblée territoriale en novembre 1968.
1974, Hassan Gouled appelle à voter pour François Mitterrand. Il devient président de la Ligue des Peuples Africains pour l’Indépendance (LPAI) créée en février 1975 par la fusion de l'Union populaire africaine (UPA) et de la Ligue pour l’avenir et l’ordre. Le secrétaire général est Ahmed Dini.
Il devient président du Conseil de gouvernement le 18 mai 1977, et est élu président de la future République de Djibouti le 28 mai par la Chambre des Députés. Il le reste jusqu'en 1999. Après l'attentat contre le «Palmier en Zinc», en décembre 1977, il interdit le principal parti d'opposition, le MPL et instaure un système de parti unique.
Le président[modifier]En 1981, il instaure un système politique dominé par un parti unique en déclarant que son propre parti, le Rassemblement populaire pour le progrès (RPP), était le seul parti légal. Après le début de la guerre civile en 1991, il autorise la tenue des élections «libres» en 1992. Or, seuls quatre partis eurent le droit de se présenter, excluant celui qui avait lancé la guerre, le Front pour la restauration de l’unité et la démocratie (FRUD). Le RPP reçut 72% des votes, et Hassan Gouled fut réélu pour un quatrième mandat en 1993.
Il quitte son poste en 1999, à l'âge officiel de 83 ans, après plus de 22 ans au pouvoir. Ismail Omar Guelleh, son neveu et chef de cabinet, lui succède en remportant l'élection présidentielle de 1999.
Hassan Gouled Aptidon est décédé à son domicile, à Djibouti, le 21 novembre 2006.
Ahmed Dini figure emblématique de Djibouti est une personnalité politique qui marqué l'histoire de la République de Djibouti par deux fois: la 1er fois pour libérer le pays du colonialisme et la 2em fois pour initier a la Démocratisation. C'est un homme qui malgré sa mort est resté vivant dans la mémoire des djiboutiens et djiboutienne
Abdallah Leh : Ciao l’artiste !
(RTD 18/09/2007)
Le grand artiste djiboutien Abdallah Abdoulkader Abass dit Abdallah Leh est décédé ce midi en France dans la région de Poitier.
Feu Abdallah Leh artiste très connu et très apprécié pour ses talents et qualités vivait depuis 2000 en France pour des raisons de santé.
Rappelons que la star Abdallah Leh avait commencé à chanter en 1979 avec le groupe appelé Egla Maqo avec lesquels il a chanté sa première chanson « Sayo Diifu « et en 1985 il devient membre fondateur du groupe phare Dinkara.
Par son talent d’artiste il avait contribué énormément à la promotion de la culture Djiboutienne.
La communauté artistique Djiboutienne est en deuil après la disparition de ce grand chanteur qui a su nous faire rêver par sa voix si envoutante.
IL avait récemment effectué un bref séjour l’année dernière où il a pris part aux festivités du Fest Horn avant d’entamer des tournées dans les différentes régions de l’intérieur où il avait reçu des accueils chaleureux par ses compatriotes notamment à Obock, Tadjourah et à Dikhil.
Également, lors de son bref séjour à Djibouti un concert en son hommage a été organisé au stade gouled où des personnalités du pays et des milliers de fans du chanteur ont pris part.
Abdallah Abdoulkader né en 1963 laisse derrière lui sept enfants et une veuve. La dépouille mortelle d’Abdallah Leh sera prochainement ramenée à Djibouti où elle sera inhumée. Que Dieu l’accueille dans son paradis éternel. Amin.
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